Le Président de l’Union Sacrée pour le Développement de Mbour (USDM) Arona Meissa Fall fait de précieuses recommandations à la classe politique sénégalaise en vue des élections législatives du 17 Novembre 2024.
Le Sénégal est à quelques encablures des élections législatives. Ce pays longtemps plébiscité pour sa culture démocratique doit réinventer le jeu politique. Notre opposition est aujourd’hui orpheline de pertinence. L’intelligence défend le retour de Cheikh Yirim et sa culture transversale. Il maitrise les causes des différents problèmes de toute l’Afrique : Afrique de l’Ouest, Afrique centrale, Afrique de l’Est et Afrique du Sud. Il détient bon nombre de solutions pour ne pas dire toutes. Toutes ses interventions sont des avalanches de propositions.
Il a participé à bons nombres d’ateliers internationaux de recherche de solutions. Pourquoi le Sénégal devrait-il se priver d’une telle intelligence ? Pour la survie de notre démocratie, son retour est indispensable tout comme l’engagement de Boubacar Camara et tant d’autres. Les gouvernements doivent être hybrides.
Le Sénégal doit songer à faire participer les citoyens à l’examen des budgets municipaux, notamment en ce qui concerne l’investissement par exemple, sous la forme de débats publiques à l’échelle locale ou régionale, pour soumettre aux citoyens, des projets prêtant à controverse ou pour revêtir la forme de jury citoyen qui auditionnent des élus et des experts sur des projets d’intérêt ou de danger public.
Une société ne peut progresser en complicité, c’est-à-dire à la fois en liberté, en autonomie et en communauté que si elle progresse en solidarité.