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Yamoussoukro : liesse populaire après la victoire des Eléphants

Yamoussoukro : liesse populaire après la victoire des Eléphants

Africaleadnews – (Yamoussoukro, 14 jan (APS) – La ville de Yamoussoukro a célébré jusque tard dans la nuit, la victoire (2-0) de l’équipe nationale de la Côte d’Ivoire, en match d’ouverture de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des nations de football, contre la Guinée-Bissau, samedi.

Cette première victoire du pays organisateur contre les Djourtous a été un moment fort de rassemblement et de communion autour de l’équipe nationale.

Pour l’entrée en lice du pays hôte, des fan zones ont été mises en place dans plusieurs communes du pays. La ville de Yamoussoukro fait partie de celles qui ont été choisies pour en accueillir.

Installée non loin du stade, la fan zone de la capitale administrative ivoirienne était déjà pleine à craquer, plus d’une heure avant le coup d’envoi du match.

Arborant le drapeau ivoirien et le maillot blanc ou orange de la Côte d’Ivoire, les milliers de jeunes qui ont fait le déplacement y ont mis de l’ambiance.

Ils ont transformé l’immense espace en une gigantesque boîte de nuit. Ils ont trinqué à la gloire des Elephants, chanté et dansé à perdre l’haleine, chacun y allant à sa manière.

Après le coup d’envoi du match, le nombreux public a vécu intensément tous les temps forts de la confrontation entre les deux équipes. Et c’est tout naturellement que la folie s’est emparée de tous, lorsqu’à la 4e mn du match, Séko Fofana a ouvert le score sur une magnifique frappe croisée.

Confiants et convaincus de la victoire finale, le public a continué, même dans les moments de relâchement de l’équipe, à l’accompagner sans faille. Et lorsque survient le but de la délivrance à la 58e mn, tous semblaient avoir la forte conviction que la messe était dite.

L’homme providentiel s’appelle Jean-Philippe Krasso. C’était l’effervescence totale et la fin de tous les doutes.

Après le coup de sifflet final, les supporters ivoiriens se sont rassemblés spontanément dans les rues pour laisser libre cours à leur joie. La fête a battu son plein pendant plusieurs heures et durant une bonne partie de la nuit pour certains.

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